Comment traduire le singulier qui s'inscrit au fil des jours à l'ombre de carnets personnels ? Comment laisser vivre ces respirations tel un cycle de lunaison dont chaque parcours est unique, toujours le même dans son rythme, et pourtant toujours différent ? Comment se faire l'écho de parcelles d'éprouvés des femmes et des hommes déposant en thérapie, un entre deux de vie ?