Les livres de Abécassis, Eliette

Vienne, mars 1938. S. Freud et sa fille Ana ont réuni les adhérents de la Société psychanalytique pour une session extraordinaire. Une soixantaine de membres ont répondu présent et se sont réunis autour du maître qui s'exprime devant eux, peut-être pour la dernière fois. Mais le père de la psychanalyse refuse de fuir l'Autriche malgré l'invasion nazie.

Les secrets de famille finissent toujours par tomber, les uns après les autres. Avec leur poids de douleur, de regrets, de remords. C'est le message d'Éliette Abécassis à travers ce petit livre consacré à la figure paternelle. Point de départ : la mort du père, qui laisse démuni, puis l'arrivée d'une lettre d'Italie qui apprend à la narratrice qu'elle a un frère, toujours soigneusement caché par son père.

Vienne, mars 1938. Sigmund Freud a convoqué la Société psychanalytique pour une cession extraordinaire. Élèves et disciples sont réunis autour du maître qui s’exprime devant eux, peut-être pour la dernière fois. Il n’y a plus d’autre choix : il faut fuir l’Autriche. Mais lui, pourquoi reste-t-il, malgré l’invasion des nazis ? Quel secret renferme la lettre retrouvée par son fils ? Comment Marie Bonaparte parviendra-t-elle à le convaincre de partir ? Qui est le mystérieux Anton Sauerwald ?

Anna a beau être divorcée et avoir trouvé en Sacha son âme soeur, son ex-mari doit d'abord lui accorder le guet, le divorce religieux juif, pour pouvoir céder à ses pulsions amoureuses sans être considérée comme une femme adultère

Lu par Manon. A travers l'histoire d'Esther, ses deux enfants et ses deux amours, l'auteure questionne la place des juifs dans la société française actuelle, l'antisémitisme et la tentation de faire son "alyah", qui désigne l'acte d'immigration des juifs vers la Terre sainte.

Esther est mariée depuis dix ans à Oren. Un mariage organisé par les familles qui s'est révélé être un mariage d'amour. Ils vivent à Méa Shéarim, le quartier hassidim de Jérusalem. C'est de ce milieu ultra-traditionnaliste que va venir le drame. Car, si après dix ans de mariage, une femme n'a pas d'enfants, son mari peut la répudier.