Tony, retraité divorcé à l'existence terne, se souvient quarante ans après qu'il aurait dû épouser Veronica. Mais elle lui avait préféré Adrian, le plus brillant de ses camarades et son meilleur ami, et peu après l'envoi par Tony d'une lettre pleine de rage et de déception, Adrian s'était suicidé.
Les dix nouvelles qui composent ce recueil se passent toutes en France, où des Anglais et des Anglaises, à différentes époques, ont voyagé, vécu, travaillé ou même combattu.
Au fil de ces dix-sept chapitres, l'écrivain déclare son amour pour la France, un amour indéfectible touchant tous les domaines : la cuisine, le sport (le tour de France), la chanson (Jacques Brel), le cinéma (François Truffaut, Jean-Luc Godard), la littérature (Gustave Flaubert, George Sand, Stéphane Mallarmé, etc.). Il évoque également des artistes, des paysans et des intellectuels.
Au début du troisième millénaire, un riche original, Jack Pitman, décide de créer sur l'île de Wight un gigantesque parc d'attractions rassemblant tout ce qu'il y a de plus typique et de plus connu en Angleterre : les blanches falaises de Douvres, Manchester United, Buckingham Palace, Stonehenge. Ce projet monstrueux est un énorme succès, mais que se passe-t-il si la copie surpasse l'original ?
18 chroniques et une nouvelle évoquent le lien entre le romancier et des auteurs dont près de la moitié sont français ou francophiles : P. Mérimée, Chamfort, F. Fénéon, G. Flaubert, M. Houellebecq, etc.
J. Barnes propose une réflexion sur Dieu, la religion et la mort sous la forme de dialogues imaginaires avec des philosophes, des poètes, des romanciers, des musiciens, ponctués de citations.
C'est une histoire du monde : Noé et son arche, un aspect assez particulier des guerres de Religion, une survivante d'une guerre atomique... Mais un narrateur ironique, incroyablement subtil, retourne les cartes. Ce qui nous faisait rire se transforme en grincements.