Georges Bouchard a écrit ces vingt-sept récits pour ses « gars », afin de leur transmettre les trésors d'un patrimoine paysan qui commençait à se déliter. À travers les portraits colorés des artisans, les croquis de scènes familiales et des travaux de la terre, un microcosme reprend forme et vie dans le rétroviseur de la culture québécoise. Sorte d'almanach d'une autre époque, ce recueil constitue une pierre précieuse de la littérature du terroir, avec La terre paternelle, Les rapaillages, La Scouine et Trente arpents.