Les auteures montrent que la dette n'est pas neutre au niveau du genre. Poussées à la précarité par des logiques colonialistes et patriarcales, les femmes subissent lourdement les conséquences de l'austérité au Nord et celles de l'injonction au développement au Sud. A travers des exemples concrets, elles proposent des perspectives d'émancipation à partir de pratiques écoféministes.