L'histoire de Hyacinthe Bellerose, qui devient sans le vouloir, mais tout naturellement, l'allié du Parti des Patriotes. Nous sommes vers 1835, sur les rives du St-Laurent.
Nous sommes en 1885, alors que le Québec entier est secoué par l'écho du deuxième soulèvement des Métis dans l'Ouest canadien. Tim Bellerose devra se mesurer au destin qui est celui de tout un peuple.
En ce Québec de la fin des années 30, agité de rumeurs de guerre et de conscription, on ne badine pas avec les sentiments. Ni avec la religion. Alors lorsque la passion est plus forte, reste-il d'autre choix que de s'enfuir dans la forêt, en faisant fi du qu'en-dira-t-on?
La vie des habitants de la ville de Nicolet en 1955, avant le glissement de terrain qui s'y produisit. Par courtes scènes, vives et colorées, l'auteur nous fait vivre la catastrophe à travers tout un monde pittoresque et plein de chaleur.
Henri et Mathilde vivent maintenant en France; la guerre fait rage et tous deux s'impliquent à leur façon. Le danger généré par leurs activités clandestines précipite leur retour au Québec. Ce troisième tome déçoit toutefois. Tout est prévisible: l'hostilité de la fille d'Henri face à Mathilde, les maladresses de cette dernière peu habituée à la « culture française ». Suite de "Le bouleau et l'epinette".
Au début du siècle, les Canadiens français s'accrochent à un rêve: repousser les frontières du Nord. L'un d'eux, Félix Métivier, incarne le destin exemplaire de ses compatriotes. C'est aussi l'histoire d'une amitié profonde.
L'auteur recrée de façon saisissante les événements d'octobre 70 et les annexe à son projet de raconter la légende d'un peuple, amorcé dans ses deux romans précédents.
Juillet 2001, au Québec. François, fils unique de Suzanne et d'Hubert, se noie. Tout ce qui a fait leur vie (réussite familiale, sociale et matérielle) éclate, à commencer par leur couple. Suzanne se réfugie dans une secte. Hubert rejoint une milice armée d'extrême droite.
Nicolet, fin de l'été 1917. Nazaire disparaît au beau milieu d'une fête de famille pour ne reparaître qu'à la fin de la guerre. C'est son neveu qui raconte son histoire soixante ans plus tard.
Bérénice, surnommée Tête heureuse, n'a jamais rien fait comme tout le monde. Mais le jour où elle disparaît tout à fait, son fils aîné commence à trouver qu'elle pousse un peu loin l'originalité. Faut-il s'inquiéter?