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Le 2e roman d'A. Cuneo après Ame de bronze (1998), où l'on rencontre le personnage de l'enquêteuse Marie Macchiavelli, qui se fait engager dans une étude d'avocats genevois pour élucider la mort suspecte d'un avocat stagiaire. Elle comprendra que cette mort dépasse le cadre genevois et qu'elle est un écho de plus au drame vécu par les Juifs, avant, pendant et après la 2e Guerre mondiale.
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Un sujet grave : un viol. Ici, pas de solutions miracles : seulement les tâtonnements de quelques personnes qui cherchent dans un environnement familier, à s'expliquer ce qu'il a soudain d'insolite. Anne Cunéo ne fait pas de théorie, elle raconte. Son récit est un roman à suspense dans la tradition du "polar" et une tentative d'évacuer, par l'humour grinçant et la légèreté, un vécu douloureux.
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Roman autobiographique d'A. Cuneo, Suisse d'origine italienne née à Paris en 1936. C'est aussi le portrait d'une famille de la bourgeoisie italienne où l'on cherchait à taire les difficultés et les menaces.
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Description romanesque de la condition féminine et prise de conscience d'une petite bourgeoise intellectuelle exposée au problème du cancer.
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Premier roman d'Anne Cuneo publié en 1967 où elle se raconte en un livre sincère. Dans le texte se mêle des extraits de journal intime, des souvenirs d'enfance avec des rêveries, des cauchemars et des images fugitives
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L'histoire de Carlo Gatti, qui fait fortune à Zurich dans le commerce de glaces à la fin du XIXe siècle
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En 1953, Fidel Castro entre sur la scène mondiale à Santiago de Cuba. Le 26 juillet de cette même année marque le début de la révolution cubaine avec l'attaque de la caserne de Moncada. En juillet 1983, soit trente ans après ces événements, la narratrice revient à Cuba à l'occasion du carnaval.
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La journaliste italo-vaudoise Paola Rouge, dite Malatesta, n’hésite pas, on le voit, à payer de sa personne. Elle a vingt-cinq ans en 1968, et c’est un hasard à peine aidé qui fait qu’elle séjourne à Prague, en vacances avec Jean-Pascal, son mari, le jour où les chars soviétiques envahissent la ville. Le hasard le plus pur lui fait connaître Stepan, en compagnie de qui elle vivra les journées sanglantes d’août 68, et qui deviendra son amant.
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