Poème dans lequel le romain Horace s’amuse à railler les mauvais écrivains. Il énumère toutes les fautes contre la vraisemblance, l’unité, le bon goût, l’usage de la langue, et s’attache moins à diriger les apprentis poètes qu’à les décourager. La poésie doit être une image de la vie et une leçon pour l’humanité, comme elle l’était pour les Grecs.