Poursuivant son récit autobiographique, l'écrivain américain offre la spontanéité de sa langue, le déferlement de ses pensées, l'abondance de ses rencontres, avec la sensibilité d'un égocentrique généreux. Il rend compte en toute liberté de sa vie que domine l'obsession de devenir écrivain.
Un grand Miller, solaire et enchanteur, où l'écrivain chronique la vie de dépouillement et d'émerveillements qu'il a choisi de mener à Big Sur, en Californie. Une ode à la nature, à sa puissance rédemptrice et sacrée, et à la liberté
Tout au long de son texte, l'auteur affirme le caractère éblouissant et fécond de sa rencontre avec Rimbaud. Il nous montre la portée d'une oeuvre qui nous oblige à réformer notre perception du monde.
L'écrivain met en scène sa vie de marginal, alcoolique, fauché aux goûts de luxe, mais surtout fou de sexe, et chante son amour pour la vie nocturne et ses rencontres improbables.