La vie quotidienne d'un jeune couple issu des classes moyennes, l'idée qu'ils se font du bonheur, les raisons pour lesquelles ce bonheur reste inaccessible car il et lié aux choses que l'on acquiert
Trois appelés du contingent essaient avec beaucoup de mal de faire réformer un autre appelé pour lui éviter d'avoir à servir en Algérie pendant la guerre d'indépendance.
"Je me souviens quand je me suis cassé le bras..." Ainsi commencent les quelques "Je me souviens", choisis par Georges Perec, égrenés avec tendresse et humour. Ce ne sont pas des souvenirs personnels, mais des petits morceaux de quotidien, que tous les gens d'un même âge ont vus, ont vécus, ont partagés...
Anton Voyl a disparu... Mais il n’y pas que lui... Que de morts dans ce livre ! Les personnages semblent être poursuivis par une malédiction. Ou plutôt une « maldiction »... L’histoire consiste en la recherche de quelque chose qui manque, quelque chose qui doit être le cinquième élément d’une série de vingt-six et dont l’absence rend tout bien pénible.
Gaspard Winckler est un peintre faussaire travaillant pour le compte d'Anatole Madera. Depuis plusieurs mois, il consacre son temps à la réalisation d'un faux Condottière, célèbre tableau conservé au Louvre réalisé en 1475 par Antonello da Messina. Dès le début de l'intrigue, Winckler assassine son commanditaire. Enquête sur les mobiles de ce meurtre.
W ou Le souvenir d'enfance est un livre de Georges Perec (1936-1982) publié en 1975. L'auteur y fait alterner deux récits apparemment sans rapport : l'un autobiographique – l'évocation de ses parents et le souvenir de son enfance sous l'Occupation – ; l'autre purement fictionnel – la description d'une île imaginaire où le sport est roi.
Récit de la course d'obstacles en laquelle se transforme l'obtention d'un entretien avec un chef de service fuyant devant les demandes d'augmentation. Première version d'un texte à l'origine de la première pièce de l'écrivain, L'augmentation.