Selon l'auteur, l'étatisme et le socialisme mènent à l'impasse et ne peuvent mener des réformes conséquentes. Ainsi les situations d'échec demandent plus d'État. Or, plus d'État induit plus d'échec. Autrement dit, proposer plus de fêtes aux pauvres, sous prétexte qu'il faille s'en occuper, est un leurre.