« À 14 h précises, on cogne à la porte. C'est lui, la source que tout journaliste rêverait d'avoir. L'homme de courte stature est armé et dépose son pistolet sur une table."Are you impressed?" me lance-t-il avec un grand sourire "Yes. Very much." J'ai devant moi Andrew Scoppa, l'un des confidents du défunt parrain Vito Rizzuto, trafiquant international d'héroïne, et meurtrier sans pitié. »Pour la première fois au pays, un mafieux de haut rang a brisé l'omerta en se confiant à des journalistes.