Loin des clichés larmoyants et des plaidoyers emphatiques sur les droits de l'homme et l'Algérie contemporaine, ce roman dénonce à travers la prise de parole de deux condamnés à mort : Pierre Chaumet et Farid, les atrocités commises par des groupes d'extrémistes ou par ceux qui les ont cyniquement utilisés.