Ecrivains et histoire de la littérature

Confrontant son expérience de la vieillesse aux derniers jours d'hommes de lettres, d'athlètes et d'artistes qu'il a beaucoup estimés, l'auteur évoque les fluctuations ainsi que les intensifications de la vie lorsqu'elle approche de son terme. Entre critiques et mémoires, il analyse la chute de Nietzsche à Turin, les réinventions de Bob Dylan, les dernières balles de Roger Federer, entre autres.

Notre imaginaire abonde en territoires et en lieux n'ayant jamais existe, de la cabane des sept nains aux iles visitees par Gulliver, du temple des Thugs de Salgari a l'appartement de Sherlock Holmes.

Des tentatives multiples de retrouver une langue originelle ont été menées par quelques-unes des personnalités les plus marquantes de la culture européenne. Bien que ces utopies ne se soient pas réalisées, chacune d'entre elles a produit des effets collatéraux qui sont analysés ici.

Parue pour la première fois en 1962, cette poétique de l'oeuvre ouverte, opposée à l'oeuvre achevée, procède d'une définition de l'oeuvre d'art comme message fondamentalement ambigu, pluralité de signifiés qui coexistent en un seul signifiant. Une analyse de la poétique de J. Joyce montre comment l'écrivain irlandais traite des questions esthétiques à travers ses personnages. ©Electre 2021

Comment un jeune écrivain doit-il s'y prendre pour s'atteler à son premier roman ? Par quel chemin de ruse passer pour séduire son lecteur ? Et quel tour de magie doit-il accomplir pour persuader le monde que ses fictions sont des morceaux de réalité ? Telles sont les questions auxquelles tente de repondre Umberto Eco.

Enquête du côté des surhommes dans les romans populaires, de Rocambole à Monte-Cristo, d'Arsène Lupin à James Bond... Ce sont les héros, plutôt que leurs créateurs, qui défilent dans ces essais écrits à des époques différentes et revus par l'auteur pour la présente édition.

De Guillaume Apollinaire à Graham Greene, d'Agatha Christie à Jean Giraudoux en passant par Lawrence Durrell et Albert Londres, une anthologie qui met en évidence les thèmes majeurs de la littérature autour de ce train mythique reliant Paris à Istanbul.

Dans cet essai alliant réflexion personnelle et observation sociale, l'écrivain américain, usant sans états d'âme de sa liberté d'expression, évoque les échecs notables de ce début de siècle, qu'ils soient ou non liés à Internet. Il y critique les bénéfices attribués aux réseaux sociaux, dénonçant l'autocensure qui en est le fruit, et défend l'idée d'une vie consacrée à l'authenticité. ©Electre 2021

"Nous n'avons pas fini d'apprendre à être les contemporains de James Joyce, à comprendre notre interprète. Ce livre pénètre dans la vie de Joyce en vue de refléter l'incessante et complexe union des faits et de l'art. La vie d'un artiste, et particulièrement celle de Joyce, diffère des vies ordinaires en ce que les événements y deviennent des sources d'art, dans le moment même où ils s'imposent à son attention.Au lieu de laisser chaque journée, poussée par la suivante, tomber dans un imprécis souvenir, il remodèle les expériences qui l'ont modelé lui-même. Il est à la fois le prisonnier et le libérateur. A son tour, le remodelage de l'expérience devient une partie de sa vie, une autre de ses récurrences telles que le réveil ou le sommeil. Le biographe doit mesurer en chaque moment la participation de l'artiste à deux processus simultanés." Richard Ellmann.

"Nous n'avons pas fini d'apprendre à être les contemporains de James Joyce, à comprendre notre interprète. Ce livre pénètre dans la vie de Joyce en vue de refléter l'incessante et complexe union des faits et de l'art. La vie d'un artiste, et particulièrement celle de Joyce, diffère des vies ordinaires en ce que les événements y deviennent des sources d'art, dans le moment même où ils s'imposent à son attention.Au lieu de laisser chaque journée, poussée par la suivante, tomber dans un imprécis souvenir, il remodèle les expériences qui l'ont modelé lui-même. Il est à la fois le prisonnier et le libérateur. A son tour, le remodelage de l'expérience devient une partie de sa vie, une autre de ses récurrences telles que le réveil ou le sommeil. Le biographe doit mesurer en chaque moment la participation de l'artiste à deux processus simultanés." Richard Ellmann.
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