Littérature

Falco est envoye en Germanie pour retrouver un commandant de legion en fuite.

L'empereur Vespasien peine a maintenir l'emprise de Rome sur les terres lointaines.

L'Empire romain, ruine et en ruines, voit naitre sous l'impulsion de l'empereur Vespasien un grand projet de reconstruction.

L'empereur Vespasien confie a son espion Falco la mission de rapporter a un senateur les cendres de son frere disparu dans un incendie apparemment accidentel.

Au bout de plusieurs mois de passion, il lui annonce que tout est fini alors que pour elle, tout commence... Au-delà de l'histoire vibrante d'une passion, ce roman est celui de la trace, de la lettre et du signe caché dans le réel, annonciateur des événements à venir.

A Auxonne, Anissa est aide-soignante dans une petite maison de retraite où les résidents coulent des jours heureux. Malheureusement le déficit guette. Le groupe qui gère l'établissement dépêche Alexane, la nouvelle directrice, pour redresser la situation financière. Elle se heurte à la résistance des pensionnaires qui, menés par une vieille dame acariâtre, refusent de diminuer leur train de vie.

Deux ans après une réunion dans la maison familiale, quatre frères et soeurs, auparavant très proches, se sont éloignés. Ils acceptent pourtant de se rencontrer dans la maison que l'aîné vient d'acheter en Grèce, le berceau familial. Ce voyage les confronte aux difficultés et à l'ambivalence de leurs relations. ©Electre 2020

Ce roman fait entendre la voix de deux amies, Alice et Cécile, séparées depuis cinq ans. Une plongée dans le passé et les années Mitterrand, la fin de l'enfance et la complexité des sentiments.

Tamouna s'apprête à fêter ses 90 ans entourée de ses enfants, de ses petites-filles, et de Tamaz son amour de jeunesse. Elle se souvient de cette année de 1918, où elle a quitté avec sa famille la Géorgie pour la France, pour fuir les bolchéviques. Elle s'est alors retrouvée coupée de ses racines, de son pays natal et de Tamaz

Tamouna s'apprête à fêter ses 90 ans entourée de ses enfants, de ses petites-filles, et de Tamaz son amour de jeunesse. Elle se souvient de cette année de 1918, où elle a quitté avec sa famille la Géorgie pour la France, pour fuir les bolchéviques. Elle s'est alors retrouvée coupée de ses racines, de son pays natal et de Tamaz.

