Littérature

Maximilien, critique d'art, perd la vue à la suite d'un choc provoqué par un récent héritage. Son état de santé suscite inquiétudes et rumeurs. Chaque jour, à midi, il fait démarrer le moteur d'une Chevrolet décapotable installée dans son salon et se remémore son passé. Sa rêverie est interrompue par les visites de psychologues qui s'enquièrent de son rapport à l'art et de sa vie sentimentale.

Un libraire repense à son passé, aux liens qui l'unissent à ses parents, mais aussi à l'écriture. Il se retrouve soudain projeté dans l'Europe centrale de sa jeunesse.

Après l'échec de son dernier roman, Yann Mendelec souhaite reconquérir son public avec un nouvel ouvrage. Son éditeur l'incite à changer son identité pour Norga Abraham, afin que ses précédents déboires n'entachent pas cette dernière parution. Tiraillé entre amour et abandon, nouvelles identités et relations personnelles, l'écrivain pose la question de la notion de sacrifices.

Une femme tombe du ciel et s'écrase sur la route devant Bartolomeu au moment où éclate une tempête tropicale et où sa maîtresse lui annonce qu'elle le quitte. Il décide de percer ce mystère et, alors que tout change autour de lui, il découvre que la morte, mannequin et ex-miss, a fréquenté le lit d'hommes politiques, devenant gênante pour certains.

Luanda, 1975. À la veille de l'Indépendance, Ludovica, agoraphobe et terrorisée par l'évolution des événements, se retranche dans son appartement en construisant un mur qui en dissimule la porte et la met à l'abri du reste du monde. Ayant transformé sa terrasse en potager elle va vivre là presque trente ans, coupée de tout, avec son chien Fantôme et un cadavre. Ludo a vraiment existé et mené la vie que raconte le roman. En entrelaçant cette histoire avec les aventures tumultueuses des autres personnages, voisins ou entraperçus dans la rue, tous plus ou moins impliqués dans le marasme de la guerre civile, Agualusa souligne avec une ironie subtile les extraordinaires coïncidences de la vie et crée un roman brillant et enchanteur.

À travers le récit de la disparition de Lidia do Carmo Ferreira, poétesse et historienne angolaise, à Luanda en 1992, c'est toute la tragédie de la guerre civile pour l'indépendance de l'Angola qui est évoquée : compromis des civils et des militaires, impostures des églises, viols des femmes vouées à la misère ou à la folie, auxquels succèdent socialisme, trafics de corps, de drogues et d'alcool.

À travers le récit de la disparition de Lidia do Carmo Ferreira, poétesse et historienne angolaise, à Luanda en 1992, c'est toute la tragédie de la guerre civile pour l'indépendance de l'Angola qui est évoquée : compromis des civils et des militaires, impostures des églises, viols des femmes vouées à la misère ou à la folie, auxquels succèdent socialisme, trafics de corps, de drogues et d'alcool.

Dans un Moscou frappé par la Révolution, Vadim fait l'expérience irréversible de la cocaïne. Tour à tour amoureux et manipulateur, le jeune homme, sous l'emprise de la drogue, dissèque les tréfonds de son âme, jusqu'à tomber dans le cauchemar de la dépendance. Là se briseront les turbulences de l'adolescence.

Une saga picaresque et libertine courant de la Révolution française au second Empire autour des aventures de Vincent, jeune paysan provençal illettré. Tandis que la guerre civile éclate entre Avignon et Carpentras, il poursuit un manuscrit perdu par le marquis de Sade qui passe pour être son père.

De quel mal etrange succombent les epouses successives du meunier d'Aix-en-Provence ?
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