Philosophie
Le texte de L'idéologie allemande est replacé dans son contexte. Des documents et des jugements d'autres philosophes sont présentés.
Dans cet essai, la philosophe s'intéresse à la notion de confiance à travers la judiciarisation des rapports contractuels, le désir de contrôle, le refus de montrer sa vulnérabilité, etc. Elle montre de quelle manière cela engendre une société de la méfiance, ou de la défiance. ©Electre 2020
L'auteure montre comment et pourquoi la peur est souvent instrumentalisée par les pouvoirs politiques, jusqu'à devenir un moyen de contrôle et de gouvernement. Mais tout ne peut être contrôlé, l'inattendu est une composante de la vie, la confiance est possible : ainsi, la peur n'est pas invincible, incontournable. Il s'agit alors d'aller vers les autres et de renouer avec sa propre altérité. ©Electre 2020
Mauriac demande: pourquoi êtes vous restés fidèles à la religion dans laquelle vous êtes nés? Qu'est-ce que la foi? Qu'est-ce que la religion? Qu'est-ce que l'église? Est-ce l'hérédité et l'éducation qui a décidé que je sois un chrétien catholique? Est-ce dieu lui-même qui me donne l'exemple et fait que je crois, j'aime et pardonne? Autant de questions auxquelles Mauriac donne des réponses à la portée de tous. 1962.
Cette biographie s'intéresse surtout au jeune Socrate. Il y est présenté non pas comme un mutant miraculeux mais comme la maturité d'une prise de conscience athénienne.
Une réflexion sur la Terre, ses devenirs et la sorte de communauté qu'elle forme avec la cohorte des espèces animées et inanimées qui l'habitent. L'auteur montre comment notre relation fondamentale à la Terre est basée sur les notions d'existence et de passage. ©Electre 2024
Jérémie est professeur de philosophie au Collège Montmorency, rappeur du duo La Brigade des Moeurs, et chroniqueur philo à Radio-Canada (C'est fou, On dira ce qu'on voudra...). Il a aussi écrit ponctuellement pour La Presse, dans le magazine Nouveau Projet ou sur le site Voir.ca. Jérémie en a marre d'entendre, partout dans les médias, du monde s'énerver sur tout et n'importe quoi. Il nous invite donc à « philosopher », c'est-à-dire réfléchir calmement à tous les aspects d'une question, pour tenter d'en saisir la complexité, les contradictions éventuelles, et pour s'en faire une idée un peu plus nuancée que ce que nous proposent nombre de commentateurs, chroniqueurs, éditorialistes, ou finalement quiconque ayant accès à un porte-voix, ne serait-ce que Facebook. Dans Avant je criais fort, Jérémie aborde le mensonge, l'ennui, la guerre, les accommodements religieux, l'intelligence artificielle, la pudeur et bien d'autres sujets, et convoque pour cela René Descartes, Mel Gibson, Gilles Latulippe, P.K.Subban, Simone Weil, Saint-Augustin, Serge Bouchard, et quelques autres...
Initie à la logique, aux règles du raisonnement et aux pièges de la pensée et donne ainsi des clés pour la réflexion au quotidien.
Analyse critique du Traité théologico-politique et du Traité politique dans lesquels Spinoza examine les relations entre la religion et la politique et cherche à désacraliser le droit.
C'est la tentative d'Anastassia de ramener l'homme à ses origines, de lui faire recouvrer sa santé spirituelle et physique, de lui apprendre à aimer et par là même, de la rendre heureux.