Récits de voyage
Sylvain Tesson a parcouru le chemin de ceux qui ont fui le goulag ou l'oppression soviétique à partir des années 1920 jusqu'à l'effondrement de l'URSS.
Ce récit raconte six mois d'ermitage dans une cabane, dans les profondeurs de la taïga sibérienne : les moments de solitude, la lutte pour la survie, les moments de paix, d'extase et d'osmose avec la nature, etc.
S. Tesson décrit son voyage en side-car de Moscou à Paris, sur les traces de Napoléon, 200 ans, presque jour pour jour, après la retraite de Russie. La débâcle tragique de l'armée française, les tourments des soldats, les étapes du parcours (Smolensk, Minsk, la Berezina, Vilnius, etc.) sont relatés. . ©Electre 2015
Ce récit raconte six mois d'ermitage dans une cabane, dans les profondeurs de la taïga sibérienne : les moments de solitude, la lutte pour la survie, les moments de paix, d'extase et d'osmose avec la nature, etc.
Pendant dix-huit jours, Ma Thanegi a voyagé en bus à travers son pays natal, le Myanmar, plus connu en Occident sous le nom de Birmanie, dont elle décrit avec humour le mode de vie traditionnel, lié au bouddhisme et aux superstitions.
En train, bien sûr, à la vitesse d'un express, mais parfois à celle d'un yack poussif, l'auteur de Patagonie express a découvert un monde encore plus exotique qu'on ne peut l'imaginer.
Déprimé par le froid de Boston, l'auteur décide un jour de circuler en train vers le Sud, direction la Patagonie. Son odyssée de plusieurs mois l’a conduit à travers les États-Unis, le Mexique, l’Amérique centrale, la Colombie, le Pérou, la Bolivie pour finir dans l’extrême sud argentin.
L'auteur a fait le tour de la Méditerranée à pied, en train, en car ou en bateau, accumulant les détours et les contretemps, faisant mille découvertes, mille rencontres.
Naturaliste ayant vécu entièrement avec les Arabes du désert, il nous décrit ses expéditions et la société bédouine.
Texte extrait de : "La Russie, race colonisatrice, impressions de voyage de Moscou à Tomsk" publ. en feuilleton dans "Le tour du monde", 1905. Albert Thomas (1878-1932), jeune étudiant, gagne en 1898 un prix d'excellence peu banal offert par la Compagnie des wagons-lits : un billet gratuit pour le Transsibérien. Ses impressions de voyage forment un témoignage exceptionnel sur cette ligne mythique encore inachevée à l'époque, mais transportant déjà des milliers de moujiks partis à la conquête du grand Est sibérien. Entre la taïga et la steppe sillonnées par des cavaliers nomades, Thomas décrit ces paysages extrêmes avec émotion, mais aussi la vie quotidienne des voyageurs fortunés qui l'accompagnent : rencontres, causeries mondaines, champagne et danses au son du piano...