Religion - Christianisme
Vaincre la jalousie par la racine Personne n’échappe à l’emprise de la jalousie, un jour ou l’autre. Comment vivre avec elle, en relever les défis et finir par en triompher?? Face à ce mal qui ronge l’âme, cause d’une tristesse mortifère, sœur Catherine Aubin nous propose un véritable chemin de guérison. Il s’agit tout d’abord de découvrir comment fermer les portes de notre cœur au mensonge, à la comparaison, à la haine de soi, pour ouvrir celles de la bénédiction, de la confiance, de l’amitié retrouvée.
Vie de Thérèse d'Avila divisée en cinq parties et illustrée de témoignages et de lettres du XVIe siècle.
Biographie de la bienheureuse Anne-Marie Javouhey (1779-1851), fondatrice de la congrégation des Soeurs de Saint-Joseph-de-Cluny, qui découvrit la Guyane et l'Afrique au début du XIXe siècle en tant que missionnaire, notamment au Sénégal .
Cet ouvrage réunit la plus grande partie du Nouveau Testament. Ces textes sacrés pour les chrétiens délivrent l'enseignement et la vie de Jésus-Christ.
Quand Rome est mise à sac (410 ans ap. J.-C.), un soupçon naît chez les Romains adversaires du christianisme : seraient responsable du déclin de Rome? Augustin relève le défi de cette interrogation. La force et l'originalité de La Cité de Dieu consistent à proposer un principe pour éclairer le jugement, pour comprendre des événements inédits qui instaurent de nouveaux équilibres. Augustin distingue en effet entre le devenir de deux cités : la cité de Dieu et la cité terrestre. Leur destin ne doit pas être confondu : le règne du Christ et la domination terrestre ne sont pas la même chose. La paix de Dieu et celle des hommes ne se recouvrent pas. La cité de Dieu est certes présente dans l'Église, et donc dans le monde : elle n'y est pas « réalisée » et ne le sera jamais. Bien au contraire, la cité de Dieu représente un principe critique par rapport à la cité de la terre. En celle-ci, tout - y compris donc l'empire romain - doit être relativisé, même si, dans la perspective du jugement dernier, tout garde une valeur unique. Le chrétien vit dans cette ambiguïté, constitutive pour lui, de deux histoires.
Ces textes extraits des Confessions, livres XI et XII posent des questions essentielles auxquelles Saint Augustin tente de répondre avec une foi profonde alliée à un grand bon sens.
Quand Rome est mise à sac (410 ans ap. J.-C.), un soupçon naît chez les Romains adversaires du christianisme : seraient responsable du déclin de Rome? Augustin relève le défi de cette interrogation. La force et l'originalité de La Cité de Dieu consistent à proposer un principe pour éclairer le jugement, pour comprendre des événements inédits qui instaurent de nouveaux équilibres. Augustin distingue en effet entre le devenir de deux cités : la cité de Dieu et la cité terrestre. Leur destin ne doit pas être confondu : le règne du Christ et la domination terrestre ne sont pas la même chose. La paix de Dieu et celle des hommes ne se recouvrent pas. La cité de Dieu est certes présente dans l'Église, et donc dans le monde : elle n'y est pas « réalisée » et ne le sera jamais. Bien au contraire, la cité de Dieu représente un principe critique par rapport à la cité de la terre. En celle-ci, tout - y compris donc l'empire romain - doit être relativisé, même si, dans la perspective du jugement dernier, tout garde une valeur unique. Le chrétien vit dans cette ambiguïté, constitutive pour lui, de deux histoires.
L'idée maîtresse, à l'origine de ce travail, a été de restituer dans une écriture contemporaine les paradoxes du texte et de la langue d'Augustin. La traduction veut faire entendre la modernité du texte augustinien, dans lequel les figures de l'aveu et de la confession sont au service de l'invention de soi.
Né en Afrique au IVe siècle, Augustin mène une jeunesse de plaisirs et d'insouciance jusqu'à l'âge de 32 ans. En quête de Dieu, il finit par le découvrir en lui-même. C'est de cette façon-là qu'il aura une nouvelle compréhension du mal, du temps et du monde.
Quand Rome est mise à sac (410 ans ap. J.-C.), un soupçon naît chez les Romains adversaires du christianisme : seraient responsable du déclin de Rome? Augustin relève le défi de cette interrogation. La force et l'originalité de La Cité de Dieu consistent à proposer un principe pour éclairer le jugement, pour comprendre des événements inédits qui instaurent de nouveaux équilibres. Augustin distingue en effet entre le devenir de deux cités : la cité de Dieu et la cité terrestre. Leur destin ne doit pas être confondu : le règne du Christ et la domination terrestre ne sont pas la même chose. La paix de Dieu et celle des hommes ne se recouvrent pas. La cité de Dieu est certes présente dans l'Église, et donc dans le monde : elle n'y est pas « réalisée » et ne le sera jamais. Bien au contraire, la cité de Dieu représente un principe critique par rapport à la cité de la terre. En celle-ci, tout - y compris donc l'empire romain - doit être relativisé, même si, dans la perspective du jugement dernier, tout garde une valeur unique. Le chrétien vit dans cette ambiguïté, constitutive pour lui, de deux histoires.