Religion - Christianisme

Biographie bien composée, pleine de tact et d'honneteté, d'un homme simple, sans concessions et qui plaide sans cesse pour les plus pauvres. Un récit qui bouscule.

Seize entretiens radiophoniques avec Mgr. le cardinal de Paris au sujet de la prière.

Un dialogue en profondeur abordant les étapes de l'itinéraire personnel du cardinal Lustiger et les questions que la société contemporaine pose à l'Eglise.

Fait état de la façon dont l'Eglise catholique aborde la question de la laïcité, de plus en plus présente au sein même de l'Eglise, après la nouvelle loi votée en France le 15 mars 2004 et à l'occasion du centenaire de la loi de 1905, dont le texte est commenté en annexe.

Il ne s'agit pas de faire concorder science et foi, ni de comparer ce que disent l'une et l'autre, mais de méditer sur quelques valeurs évangéliques à partir d'images empruntées à la science actuelle... Des paraboles basées sur un dialogue entre un étudiant et son professeur : dialogue scientifique, puis méditation spirituelle.

Ce recueil regroupe différents entretiens, riches et cohérents, de John Main. Tout art, y compris celui de la prière, requiert un maître. Le rôle de ce dernier nest pas de substituer son enseignement à lirremplaçable expérience personnelle, mais de faciliter, voire de rendre possible cette expérience. Pour bien des gens, en Occident comme en Orient, John Main a été un tel maître. Moine bénédictin, il avait appris à méditer auprès dun moine indien avant de redécouvrir la tradition chrétienne de la méditation. Des centres et des groupes de prière se sont formés partout dans le monde en réponse à son message, dont lessence est la simplicité.

Ce livre offre au lecteur un témoignage philosophique, un manuel de vie dans lequel tous les aspects du quotidien se font outils au service d'une construction authentique de la personnalité : consciente de ses limites comme de ses richesses.

L'auteur explore la vie de l'évêque de Shanghai, le jésuite Jin Luxian, dit le pape jaune de l'Église catholique. Il revient sur la vie mystérieuse et très controversée du jésuite chinois en rupture avec le Vatican. Il vérifie certaines affirmations comme son mariage dans les années 1950, l'existence d'un enfant naturel exilé aux Etats-Unis ou sa relation avec les frères jésuites en prison.

Alain Marchadour, assomptionniste français, et David Neuhaus, jésuite israélien, reprennent avec clarté le très lourd dossier de la Terre promise. Ils proposent une investigation passionnante des textes bibliques, de la pensée des Pères de l'Église, jusqu'aux événements qui ont conduit à la situation actuelle : montée de l'antisémitisme, tragédie de la Shoah, interventions coloniales au Proche-Orient, création de l'État d'Israël et le drame des réfugiés palestiniens. .. Ils n'éludent aucune question grave ou douloureuse. Ils soulignent l'importance de la lecture critique et historique de la Bible pour désamorcer la violence. Ils examinent avec rigueur la position de l'Église, jusqu'aux documents les plus récents.

J'ai besoin que le monde m'aime. Voilà, c'est dit. Après neuf mois d'entretiens et de rencontres, Raymond Gravel me lance cette toute petite phrase. Si quelques mots pouvaient le résumer, ce serait ceux-là. Ils sont la définition de son être, du besoin viscéral qui l'a fait avancer toute sa vie. S'il y a une chose que la maladie n'a pas changée chez lui, c'est bien cette soif de communiquer, de discuter pendant des heures. Or, quand vient le temps de parler de lui-même, Raymond Gravel se transforme en homme de peu de mots. Comme si ce n'était pas important. Comme s'il n'en valait pas la peine. Je me suis souvent demandé en l'écoutant ce qu'il serait devenu si l'homme était né une génération plus tard. Ses sermons en chaire auraient peut-être pris une autre forme. Politicien de carrière, homme de scène, motivateur, ou même journaliste pour la télévision : n'importe quoi qui lui aurait permis de capter l'attention des foules. Après tout, si tant de gens l'écoutent, c'est peut-être parce qu'il a quelque chose d'intéressant à raconter.

