Roman historique

Azalaïs, fille d’un seigneur sans fortune et, par conséquent, sans dot, est vouée au couvent. Elle réussit à y échapper en devenant suivante à la cour de la duchesse Philippa, épouse de Guillaume d’Aquitaine. Le véritable amour semble toutefois inaccessible quand le jeune seigneur qui veut l’épouser est contraint de se soumettre à un mariage de raison.Azalaïs: La Vie courtoise est une somptueuse évocation du Moyen Âge français. L’auteure dresse un portrait fascinant de ces femmes qui ont vécu dans un monde dominé et contrôlé par les hommes.

Suite de : Azalaïs, ou La vie courtoise. Cette deuxième partie retrace la jeunesse d'un apprenti chevalier, Guilhèm fils d'Azalaïs, et décrit la relation entre une mère et son fils au Moyen Âge. Amours, jalousies, espoirs intrigues et complots jalonnent le parcours de ces femmes et de ces hommes du XIIe siècle.

Inspiré de faits vécus, voici un roman historique qui retrace l'arrivée, en 1833, d'une jeune Irlandaise sur un bateau d'immigrants dans le Bas-Canada.

Alors quau Québec le FLQ est en plein essor, Nicole et Georges, deux Montréalais, sinstallent à Toulouse pour permettre à Georges de poursuivre des études universitaires. Sous les recommandations de son mari et pour meubler son temps entre son travail de dactylo, ses entrainements de volleyball et ses pratiques de chorale, Nicole décide de sinscrire comme étudiante en propédeutique en lettres. Mais après une première session bien réussie, un drame survient : dans un accident dauto où ils sont tous deux impliqués, Georges meurt. Nicole, qui était habituée de prendre ses décisions en fonction des conseils de Georges, se trouve bien démunie. Elle est toutefois entourée de son amie Geneviève, qui laide à trouver un emploi dété comme guide touristique à Carcassonne, où Nicole se découvre un intérêt pour le Moyen-Âge. Mais, plus le temps passe, et moins Nicole a envie de rentrer au Québec, où, elle le sait, sa famille et une vie toute planifiée lattendent...

Juillet 1966. Dans lavion qui la ramène à Montréal, Nicole Baumier se remémore avec un peu de nostalgie ses années toulousaines et ses étés passés à Carcassonne. Encore sous le coup d'une rupture qui l'a dévastée, elle appréhende le retour chez ses parents au Faubourg à mélasse. Pourtant, cela ne l'empêche pas d'aborder sa nouvelle vie avec de fortes résolutions : personne ne lui dictera sa conduite et rien ne la fera renoncer à une liberté chèrement acquise. Après trois ans d'absence, Nicole reprend contact avec un Québec qui a profondément changé. Cest avec les yeux de celle qui fut une expatriée que le lecteur pourra prendre le pouls dune société en pleine mutation : émancipation de la femme, réformes politiques, mise à distance de la religion, élan vers la modernité.

Pour se rendre à Saint-Jacques-de-Compostelle, les pèlerins, que l’on appelle jacquaires, suivent une des multiples routes de pèlerinage jalonnées de monastères aménagés pour les accueillir. Au début de l’été 1240, une caravane de jacquaires part de Montpellier. Parmi eux se sont glissés deux cathares. Émissaires de Trencavel, le vicomte banni de Carcassonne, ils sont chargés d’avertir ses fidèles qu’il va lancer une campagne de reconquête avant les vendanges. Dès la première étape, par une nuit de pleine lune, un jacquaire périt de mort violente.

Le Clan Spinoza mobilise toutes les ressources du roman pour faire renaître le monde dans lequel a vécu Bento de Spinoza, entre Amsterdam et La Haye, dans cette Europe du XVIIe siècle qui a vu l’avènement de la Raison Moderne.

Voici une histoire singulière dont quelques éléments sont connus avec certitude. En 1323-1324, un jeune aristocrate africain, le Kankan Moussa, roi de Niani, accomplit le pèlerinage à la Mecque avec une suite de huit mille hommes, douze mille selon certains. L'aventure est sans précédent. Cette longue traversée du monde est marquée d'événements imprévus : certains d'ordre personnel, d'autres liés aux aléas d'un si long voyage...

A partir de documents laissés par une femme et archivés à l'association Les Archives de la vie privée, l'auteure a voulu continuer la reconstitution de la vie d'un homme, Marc Solon, né dans les années 1840 à Genève.

Ispahan, 1721. Vingt ans ont passé depuis les aventures contées dans L'Abyssin. L'arrivée dans la capitale de la Perse d'un mystérieux inconnu va rompre la vie paisible de Jean-Baptiste Poncet et le précipiter, à la recherche d'un ami menacé, dans un périple aventureux. Et, derrière ce récit, se dessine une réflexion profonde sur les pouvoirs de l'imaginaire.
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