Sciences politiques et économiques

L'auteur analyse le rôle et les missions que devra remplir le nouveau chef de l'Etat

Les crises qui se succèdent montrent que la société contemporaine vit une mutation comparable au passage du Moyen Âge à la modernité. L'économie, les entreprises, la politique, la science, les religions sont profondément modifiées par un mouvement qui mène vers une postmodernité. L'auteur propose des pistes pour en comprendre les facteurs et réfléchir à l'avenir.

P. Stefanini dévoile les coulisses de la campagne de François Fillon qu'il a menée au cours des primaires, puis de l'élection présidentielle 2017. Il revient notamment sur la victoire surprise aux primaires, le retentissement des révélations sur les emplois fictifs de l'épouse de F. Fillon et sa démission après le meeting du Trocadéro.

L'auteur remonte le cours du fascisme en France jusqu'à ses sources culturelles à la fin du XIXe siècle et suit son évolution tout au long du demi-siècle qui sépare la crise boulangiste de la fin des années 1880 au régime de Vichy

Respectivement philosophe et praticien de santé publique, les auteurs de cet essai montrent que la période entamée avec le confinement en 2020 a provoqué une suspension de la vie démocratique contraire à l'esprit de la charte d'Ottawa de 1986. Ils exposent les effets délétères de ce nouveau libéralisme autoritaire instauré avec la pandémie et proposent une lecture critique des années Covid. ©Electre 2022

L'auteure met en évidence l'idée généralement admise d'une nécessité de s'adapter dans un monde complexe régi par la pensée néolibérale. Se fondant sur les théories de W. Lippmann et de J. Dewey, elle invite à une réflexion sur les liens entre la pensée politique et l'évolution humaine pour montrer qu'une autre interprétation du sens de la vie est possible. Grand prix Moron 2019. ©Electre 2020

Prix Nobel d'économie 2001, l'auteur analyse les travers des politiques économiques ultralibérales occidentales des années 90 à aujourd'hui. Il montre notamment que la réduction des déficits ne relance pas nécessairement l'économie, que les guerres ont sur elle un impact négatif, que la finance ne détient pas la sagesse et que l'Etat n'y joue pas forcément un mauvais rôle.

L'auteur expose l'impact du coût de la guerre en Irak sur l'économie américaine et mondiale et démontre que les coûts futurs ont été dissimulés ou sous-évalués. Il s'agit des coûts concernant les soins permanents aux soldats infirmes, la hausse du prix du pétrole, le retrait des hommes, l'enlèvement ou la destruction du matériel, le maintien d'une présence militaire dans le pays, etc.

Dénonciation du libéralisme et des grandes institutions financières telles que le fonds monétaire international ou encore la banque mondiale. L'auteur insiste sur le rôle prépondérant joué par les Etats-Unis dans le processus d'appauvrissement des pays du sud.

Le prix Nobel d'économie 2001 analyse les causes structurelles et politiques de la crise financière de 2008 et propose une réflexion sur l'avenir du capitalisme et sur les sorties de crise possibles.
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