Sciences sociales
L'auteur dénonce l'imposition d'une pensée unique et d'un système de valeurs par le sociologisme, qui étouffe tout débat démocratique et confine dans le champ de l'hérésie les autres points de vue. Il alerte sur l'inculturation et le manque d'indépendance des citoyens dans leurs prises de positions.
Un éloge de la bienveillance, présentée par l'écrivain comme le moyen le plus efficace de désamorcer les conflits et de neutraliser les manifestations d'hostilité.
Dans ce récit à la fois personnel et politique, l'auteur raconte son enfance chaotique dans les Appalaches, cette région des États-Unis qui a vu l'industrie du charbon et de la métallurgie péricliter. Il décrit avec humanité et bienveillance la rude vie de ces "petits blancs" du Midwest que l'on dit xénophobes et qui ont voté pour Donald Trump.
Nous sommes le 25 décembre 2004. Dans les chaumières du Québec, on célèbre la fête de Noël dans la joie. Nicolas Vandal, un adolescent de 15 ans, se sent déprimé. Il passe une année scolaire infernale. Peu de gens sont vraiment au courant du clavaire qu'il vit. Voyant que tous les membres de sa famille s'amusent, il décide de se secouer et de prendre part à la fête. Très fragile, mais plein de bonnes intentions, il invite l'une de ses soeurs à danser avec lui, mais elle le rejette. Jusque-là, il n'y a rien de dramatique. Sauf que l'adolescent blessé se rend seul à la cuisine. Il avale compulsivement tout le contenu d'un flacon de médicaments, qui ne doivent être pris qu'à petites doses. Il a décidé de mourir, d'en finir avec sa vie cauchemardesque. Pourquoi ne vient-on pas à son secours? Adolescent renfermé, Nicolas a toujours dissimulé la vérité. Sa famille ignore à quel point il est moralement détruit par l'intimidation dont il est victime depuis l'école primaire. Après avoir voulu en finir tant de fois, Nicolas Vandal va mieux. Il a décidé de raconter son histoire. Il fait le récit bouleversant et choquant d'un parcours difficile, qui a commencé dans la cour de la petite école où on le maltraitait, et qui l'amène aujourd'hui à donner des conférences sur le phénomène de l'intimidation. Après avoir vécu l'enfer, cette ancienne victime a repris goût à la vie en toute confiance.
Pendant trois ans, l'auteur a sillonné le pays. Installé sur des lits dans les quartiers des vitrines, des sofas de lounges d'hôtels étoilés ou des bacs de bière à l'arrière de cafés : partout il a parlé avec des travailleurs et travailleuses du sexe. Sans oublier leur entourage.
L'auteur passe en revue tout ce que l'on pense être français mais que l'on doit en réalité à des Belges, notamment la première voiture, le premier moteur, la machine Marly de Versailles, le métro ou le Club Med. L'ouvrage évoque également les Belges célèbres à l'international, comme A. Nothomb, G. Simenon, R. Devos, etc.
Le directeur délégué de la rédaction du Figaro Magazine évoque les conversations avec son grand-père, le général Crépin, sur ses souvenirs de la Résistance et de la guerre, et sur les valeurs du courage, du mépris de l'argent, de la carrière et de la fidélité. Il s'interroge sur l'oubli contemporain de l'intérêt général, du souci d'autrui, du respect du passé et de la grandeur. ©Electre 2017
Enquête sur la mort auprès de psychiatres, cardiologues, chirurgiens, biologistes et physiciens qui ont étudié des mourants et des personnes ayant connu des expérience de mort imminente.
Voici un livre en rupture avec la plupart des idées qui depuis des siècles gouvernent les opinions et les comportements. Issu du Traité de savoir-vivre à l'usage des jeunes générations, il pousse plus avant la réflexion sur la subjectivité radicale et sur le renversement de perspective.
Conçu sous forme de brèves analyses et de thèses, cet ouvrage poursuit l'examen critique d'une société marchande en déclin et d'une société vivante appelée à la dépasser. Après un état des lieux, l'auteur s'interroge sur un nouveau type d'économie fondé sur des modes de production sollicitant énergies renouvelables et non polluantes.