Sciences sociales
L'auteur fait le constat que tandis que le monde extérieur est de plus en plus hostile (terrorisme, Covid-19, guerre en Ukraine), le foyer se transforme en cocon connecté dans lequel tout peut être regardé ou livré sans avoir à prendre le risque de sortir. P. Bruckner s'inquiète des possibilités qu'un tel comportement de repli pourrait entraîner à l'avenir. ©Electre 2023
Les auteurs analysent, souvent de façon très critique, divers aspects de la sexualité, de la vie amoureuse, sexuelle, érotique.
Depuis 1950, l'espérance de vie a augmenté de vingt à trente années. Face à ce fait, qui ajoute au temps vécu l'équivalent du total d'une existence au XVIIe siècle, l'essayiste explore les conséquences d'un tel changement sur le destin des individus, passé la cinquantaine. Puisant à des sources factuelles, historiques et littéraires, il esquisse un art de vivre cette moisson de jours en plus.
Une mise en lumière du remplacement de la lutte des classes par celle des genres et des races au XXIe siècle, symbolisée par la condamnation de l'homme blanc hétérosexuel comme coupable suprême. L'auteur analyse comment, sous l'impulsion des Etats-Unis, s'est ancrée cette idée et le danger qu'elle représente pour les valeurs communes de l'humanité.
Les auteures montrent que la dette n'est pas neutre au niveau du genre. Poussées à la précarité par des logiques colonialistes et patriarcales, les femmes subissent lourdement les conséquences de l'austérité au Nord et celles de l'injonction au développement au Sud. A travers des exemples concrets, elles proposent des perspectives d'émancipation à partir de pratiques écoféministes.
Saviez-vous que, en privant Napoléon Ier en exil à Sainte-Hélène de sa lotion favorite, les Anglais furent à l'origine d'une fameuse eau de Cologne ? Aux Caraibes, un voile de mystère enveloppe quatre parfums de Piver et contribue à leurs succès. Quant au N°5 de Chanel, il doit peut-être sa célébrité à un cheval de course...
Ce récit de vie est le résultat de quatorze séances d'entretiens avec un ancien paysan neuchâtelois de Bevaix de 83 ans qui résidait dans un EMS. A chaque entrevue, armé d'un petit enregistreur, j'ai interviewé mon interlocuteur durant 20 à 30mn. De retour chez moi, j'ai transcris le plus fidèlement possible le contenu du dialogue sur papier, essayant de restituer l'atmosphère vécue. Les enfants de M. Pierre Pochon qui, d'abord, avaient suggéré et proposé à leur papa de se raconter, ont ensuite collaboré à l'illustration de ce recueil.
L'auteur présente une histoire du monde à partir de tous les rituels quotidiens et les objets usuels de la maison. Une chronique épique de l'histoire domestique.
Les mésaventures d'une Sicilienne d'origine, dans sa vie d'épouse et de femme, en France puis à Montréal. Le récit constitue une sorte de plaidoyer contre la condition de soumission imposée aux femmes, contre la domination exagérée de certains hommes, contre une certaine forme de tradition.
Qu’y a-t-il de plus extraordinaire et d’enrichissant que d’établir une communication sincère entre diverses générations ? Aujourd'hui, les grands-parents sont des complices de tous les instants de leurs petits-enfants. Ils les aiment, les chérissent, les encouragent mais surtout, ils parlent avec eux, jasent, rient, inventent, racontent des histoires... Qu'en était-il autrefois ? Nos grands-pères étaient dans nos vies comme des hommes lointains, très solennels, inaccessibles, des messieurs que nous n'aurions certes jamais contestés. Ils étaient là, mais ils ne nous parlaient pas.
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