Le roman d'Olivier 02 : Trois sucettes à la menthe
Olivier a quitté sa chère rue Labat pour aller vivre chez son oncle. Autant dire, pour l'enfant, changer de planète. L'univers bourgeois, l'appartement cossu, la vie mondaine des Desrousseaux le surprennent et le déconcertent. Olivier s'intègre difficilement. Bientôt il s'apercevra que sa curiosité est sans cesse mise en éveil. Qui est vraiment l'oncle Henri et la tante Victoria ? Il y a aussi les cousins, les deux bonnes, et, comme on reçoit beaucoup, toute une foule de personnages cocasses, grandioses ou ridicules. Ces rues de Paris, le canal Saint-Martin, les Grands Boulevards, leurs passages mystérieux, leurs théâtres, leurs cinémas, leurs music-halls...Olivier arrive à Saugues, porte du Gévaudan. Là, il rejoint les siens : le "pépé",#la "mémé", leur fils Victor, jeune hercule de village, qui prend l'enfant sous sa protection. Dans ce pays grandiose, chaque instant d'Olivier lui apporte une découverte, un émerveillement. Qui sont-ils ces paysans farouches, ces artisans appliqués. ces pâtres pleins de mystérieuses connaissances ? Olivier les découvre dans leur existence Réelle. Dans ce pays de la Bête du Gévaudan, avec ses légendes noires, ses processions de Pénitents, ses veillées, l'imagination du petit Poulbot s'enfièvre et c'est toute l'enfance qui apparaît à travers lui.