Dans sa prison, Socrate, condamné à boire la ciguë, reçoit à la veille de sa mort, son riche ami Criton qui lui propose de s’évader. Le condamné refuse au nom du devoir et imagine, dans une célèbre prosopopée, le discours que lui tiendraient les Lois de la Cité.
Platon veut définir l'homme politique idéal : royal. Il montre qu'il faut être philosophe pour maîtriser la compétence politique et mener la cité à l'excellence, il élimine les sophistes, principaux prétendants au pouvoir. Il livre ainsi une leçon de méthode philosophique.
Un des dialogues de Platon les plus lus et étudiés. Chef-d'oeuvre littéraire et philosophique, il porte sur l'amour. Luc Brisson en renouvelle la lecture en proposant de l'interpréter en regard des pratiques sexuelles des Athéniens de la Grèce classique.
Dans sa prison, Socrate, condamné à boire la ciguë, reçoit à la veille de sa mort, son riche ami Criton qui lui propose de s’évader. Le condamné refuse au nom du devoir et imagine, dans une célèbre prosopopée, le discours que lui tiendraient les Lois de la Cité.
Les derniers dialogues entre Platon et Socrate : trois discours retraçant le déroulement du procès qui mobilisa toute la cité d'Athènes. Socrate se défendra avec l'arme qu'il manie le mieux, le langage. Il refusa de prendre la fuite comme le lui conseillait Criton et s'empoisonna à la ciguë.
Dans ce dialogue, Socrate discute avec Ion dont la tâche est de réciter des poèmes, ceux d'Homère en particulier. Ion montre une prétention inhabituelle chez les gens de sa profession : celle de commenter Homère. Il affirme produire ces commentaires par une inspiration divine, qui serait le propre du poète, ce que lui conteste Platon.
Dans ce dialogue, Platon compare la civilisation de l'Athènes du passé et celle de l'Atlantide qui s'opposent comme deux idéaux différents. À la vertu raisonnable et à la force mesurée des Athéniens est confrontée la puissance brutale et sans frein des Atlantes.