Ce dialogue met en scène les dernières paroles de Socrate. Le propos en est ce que le philosophe doit savoir de la mort, et comment face à elle il doit se comporter.
Sans doute le plus animé et le plus féroce des dialogues platoniciens dans lequel Platon s'attaque au fondement de la démocratie et esquisse une nouvelle forme de pouvoir. Il se veut le protocole éthique d'un engagement politique et débat donc des conditions du gouvernement de soi et des autres.
Une question oriente la lecture de Philèbe : la vie bonne est-elle une vie de plaisir ? Un dialogue fondamental dans la tradition de la philosophie occidentale.
Comment parler des origines ? Comment dire ce que furent la naissance de l'univers, celle de l'homme, celle de la société ? Du Timée au Critias, la réponse ne varie pas : c'est à un discours qui constitue son objet que revient la tâche explicative. D'un côté, la cosmologie du Timée qui cherche les conditions d'une connaissance du monde sensible.
Les lettres présentent, par rapport au reste de l'oeuvre de Platon, un double intérêt : là seulement le philosophe parle à la première personne, là seulement il se décrit en action. Les Lettres nous présentent un autre Platon que celui des dialogues, celui qui, tout jeune homme, veut jouer un rôle politique à Athènes et qui, plus tard, cherche à réaliser à Syracuse les projets politiques qu'on trouve exposés d'abord dans la République, puis dans le Politique et dans les Lois.
Dialogue en Crète d'un Athénien et de deux Crétois sur les lois, les intentions du législateur, la cité de l'avenir et son organisation, le mariage, l'éducation, l'organisation de la justice, etc.
Dialogue en Crète d'un Athénien et de deux Crétois sur les lois, les intentions du législateur, la cité de l'avenir et son organisation, les vertus, la politique, la société, l'éducation, les arts, les sciences et la religion.