Ecrivains et histoire de la littérature

L'auteur, poète, romancier, membre de l'Académie Française, venu à Paris à l'âge de dix-neuf ans, rend ici un vibrant hommage à la langue française dont il savoure phonétiquement les sons et les mots.

Influencé depuis toujours par Segalen, Cheng relève ses points communs intellectuels et spirituels avec ce fou d'Asie.

Un recueil réunissant l'intervention de F. Cheng à l'émission télévisée La grande librairie du 17 avril 2019 sur l'incendie de Notre-Dame de Paris, des extraits de courriers envoyés par les téléspectateurs à l'écrivain ainsi qu'un texte ultérieur de ce dernier prolongeant sa réflexion. ©Electre 2020

Livre posthume dans lequel l'auteur mène son propre interrogatoire sur l'écriture, la littérature, le sexe, Dieu, la mort, la foi protestante, la jouissance des corps, etc.

JDans ces chroniques parues dans le magazine de Suisse romande, l'écrivain évoque son amour de la peinture, du jazz, de la littérature, du cinéma ainsi que quelques amitiés fortes.

Depuis longtemps, J. Chessex appartient à la grande tribu des flaubertiens impénitents. Ici, il souligne en écrivain, en complice, tout ce qui, dans l'ordre de la création, le lie à l'oeuvre du maître.

Dans le clair-obscur du temps et de la mémoire, certaines scènes de cette autobiographie frappent, cinglent : une jeune fille battue au fouet à chien, l'odeur de l'encens froid, une mère qui ne pardonne pas à son fils... Le romancier et poète dit parfois ici l'innommable, le trouble du passé.

En 1901 paraît The Defendant, édité en langue française sous le titre Le Défenseur. C’est une reprise de plusieurs textes parus dans The Speaker et qui visent à prendre la défense aussi bien du patriotisme ou du non-sens que des squelettes et de bien d’autres sujets. On y découvre Chesterton tel qu’il va s’imposer. C’est un véritable feu d’artifice de paradoxes, d’intelligence et de mise à mal de ce que l’on n’appelle pas encore le « politiquement correct ».

La vie littéraire et politique de l'écrivain qui, entre romantisme et fantastique, s'est essayé à divers genres littéraires et a participé à la vie artistique et intellectuelle de son temps

De 1912 à 1948, les jeux Olympiques comprenaient des épreuves d'art et de littérature. A l'olympiade parisienne de 1924, celle de lettres a pour jurés Jean Giraudoux, Paul Claudel, Gabriele d'Annunzio, Paul Valéry ou Edith Wharton et pour concurrents Henry de Montherlant et Robert Graves. Raconté ici, le concours témoigne d'une époque où l'écriture passionnait autant que les prouesses athlétiques.
Pages
