Nouvelles
La vie et la mort de Don Juan revisitées par Honoré de Balzac, dans une nouvelle écrite à Paris en octobre 1830.
Bandi, qui signifie Luciole, est le pseudonyme d'un écrivain qui vit en Corée du Nord. Après bien des péripéties, dissimulés dans des livres de propagande communiste, ses manuscrits ont franchi la frontière interdite pour être publiés en Corée du Sud. Mais pas leur auteur. Bandi a choisi de rester, lui qui se veut le porte-parole de ses concitoyens réduits au silence. Ses récits où s'expriment son émotion et sa révolte dévoilent le quotidien de gens ordinaires dans une société où règnent la faim, l'arbitraire, la persécution et le mensonge, mais aussi l'entraide, la solidarité, et l'espoir, chez ceux qui souffrent.
Herman Bang (1857-1912), écrivain danois naturaliste est surtout intéressé par les existences ratées ou malheureuses. Il est considéré comme l’un des maîtres de la littérature danoise en ce qui concerne les descriptions de portraits psychologiques féminins.
Sept nouvelles constituant un récit suivi grâce à la narratrice, jeune éditrice américaine. Drôle et amusant.
Douze nouvelles au fil desquelles des couples divorcent, des femmes noires sont traquées par des pit-bulls sur des parkings, où la liste de courses à effectuer au supermarché finit par se confondre avec un programme de vie, où des mythomanes prennent leurs semblables en otage, où la mort frappe les hommes comme les animaux, où le coeur transplanté d'un amour décédé bat.
Recueil de nouvelles écrites entre 1970 et 1974. Elles abordent des thèmes chers à l'auteur, qui ne cesseront de s'affirmer dans son oeuvre : problèmes familiaux, questions raciales, relations entre père et fils... et toujours un regard très social et une conscience politique aiguë, qui attachent une attention particulière à la vie concrète des Américains ordinaires.
Douze nouvelles au fil desquelles des couples divorcent, des femmes noires sont traquées par des pit-bulls sur des parkings, où la liste de courses à effectuer au supermarché finit par se confondre avec un programme de vie, où des mythomanes prennent leurs semblables en otage, où la mort frappe les hommes comme les animaux, où le coeur transplanté d'un amour décédé bat.
Tendresse, décence et grâce, tels sont les mots qui permettent de rendre compte des nouvelles de ce recueil. Le monde est un endroit glacé, mais par une affection chaleureuse, la possibilité d'une rédemption lui est offert.
" Les quatre récits de ce recueil nous transportent dans des villages du Nunavik où vie quotidienne et légendes s'entremêlent, dévoilant un monde déchiré entre la culture des ancêtres et l'attrait de la vie moderne. Depuis l'arrivée de l'homme blanc, on y a troqué les chiens de traîneau contre des motoneiges. L'alcool et la drogue font maintenant partie du paysage avec leur triste cortège de drames fami-liaux. Mais l'inuksuk, cet homme de pierre qui do-mine fièrement la toundra, continue de rappeler à tous les exploits des valeureux chasseurs inuits d'autrefois. Porteur d'espoir, il persiste à baliser la route pour les siens. " -- 4e de couv.
Ensemble d'anecdotes, de courtes nouvelles et contes que l'écrivain fit paraître dans le Figaro entre 1855 et 1856.
Pages
