Philosophie

Cet essai propose une approche apocalyptique des calamités dont est soulignée, à la lumière des Ecritures, l'efficacité symbolique. Chaque mentalité collective a sa vision des catastrophes : l'impermanence du monde est un fait acquis au Japon tandis que l'Occident a d'autres recours, ancrés dans sa tradition judéo-chrétienne, qui permettent de voir le cataclysme comme une promesse de salut. ©Electre 2020

Comment sortir de l'Histoire sans broyer du noir ? La fin de l'ère chrétienne et progressiste nous oblige à reconsidérer nos rapports avec cette grande puissance de l'illusion et de l'enthousiasme. Pour l'auteur, dans cet essai où l'humour côtoie la nostalgie, il est peut-être temps de remplacer l'espoir sans gaieté par une gaieté sans espérance. ©Electre 2016

La vie des philosophes grecs, la place qu'ils occupaient dans la société, leurs doctrines, leur influence...

Parcourant dix siècles d'histoire, L. De Crescenzo brosse le portrait de vingt-cinq philosophes ou théologiciens qui ont apporté leurs réflexions à ce millénaire, avec ses bûchers de sorcières, ses invasions barbares, les massacres des Croisés, les cauchemars de l'an mille.

Galerie de portraits philosophiques qui se partagent entre conservateurs et penseurs progressistes.

Analyse de la pensée de Platon et de Montaigne sur la vie et la mort. L'auteur montre que chez l'idéaliste comme chez le fataliste la mort est désirable car elle délivre du faux. Mais une différence essentielle les oppose : pour Platon, la mort libère la pensée, permettant l'accès à la connaissance éternelle ; pour Montaigne, elle l'étouffe définitivement, délivrant l'homme de ses inquiétudes. ©Electre 2019

Une étude qui souligne l'ampleur et la portée de la pensée du philosophe anglais concernant les problèmes politiques et sociaux qui se posent toujours au XXIe siècle, de l'émancipation des femmes à la question écologique en passant par les difficultés du régime représentatif. Est aussi approfondi l'intérêt de sa théorie de l'état stationnaire face aux dilemmes posés par la croissance économique.

Le premier défi de la démocratie est de donner le «goût de l'avenir» (Alexis de Tocqueville), de générer l'enthousiasme qui poussera les jeunes d'esprit à progresser d'eux-mêmes vers de nouvelles quêtes de sens et de savoir, à renouveler peut-être surtout, dans le contexte des nouvelles connaissances et d'une prise de conscience accrue des richesses des différentes cultures, les questions que l'on appelle «ultimes et les plus hautes», pour citer Husserl, celles que la science exclut par principe et qui sont pourtant «les questions les plus brûlantes», portant «sur le sens ou sur l'absence de sens de toute cette existence humaine». Le simple mot «question»évoque d'emblée le vieux français «queste», c'est-à-dire la «quête», du latin «quaerere», «rechercher», «aimer»; il traduit le désir de voir et de savoir, impliquant du coup les deux dimensions à la fois les plus essentielles et les plus grandes de notre être proprement humain, la capacité d'aimer et celle de penser. Une éducation qui exclurait, comme tranchées d'avance, ces questions ultimes, ne serait nullement à la hauteur de l'humain. Les essais composant ce livre explorent six d'entre elles, à savoir la dignité humaine, l'intelligence, la liberté, le bonheur, la mort et la beauté.

Pamphlet contre le bruit et les nuisances sonores.

L'auteur a rencontré quatre maîtres à penser (deux hommes : Prajnânpad et Krishnamurti, et deux femmes : Vimala Thakar et Etty Hillesum). Chacun d'eux lui a donné un enseignement qui permet de se diriger vers l'essentiel en découvrant ce qui est important de ce qui ne l'est pas. Ce premier tome s'organise autour de trois thèmes : voir, accepter, être libre.
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