Philosophie

101 textes brefs, qui décrivent, chacun, une expérience à tenter, d'une facilité parfois déconcertante (éplucher une pomme dans sa tête, courir dans un cimetière, répéter le nom d'un objet courant...), dans un but philosophique : éprouver la part d'insolite inhérente aux faits et gestes les plus simples et en percevoir physiquement les enjeux métaphysiques.

Tout le monde s'interroge sur le sens de la vie, sur la mort, la justice, la liberte... La philosophie n'est pas un casse-tete. Chacun est capable de raisonner, d'organiser ses idees.

Aborde la question du bonheur en philosophie, qui apparaît pour beaucoup comme le but ultime de la philosophie. L'auteur insiste sur le fait que cette croyance est illusoire et s'avère néfaste pour ceux qui y adhèrent

Résumé en cours

" Quel sens donnez-vous à votre vie? À la vie en général? Quel a été votre parcours personnel? Trois journalistes chevronnés ont fait le pari de poser ces questions intimes et essentielles à vingt personnalités québécoises. " -- 4e de couv.

Se fondant sur une relecture des textes politiques de Camus et sur les archives familiales, l'historien évoque la pensée philosophique de l'écrivain, qui s'est notamment illustré dans la lutte contre tous les totalitarismes et par sa position réconciliatrice face à la guerre d'Algérie. Il a dénoncé la violence d'Etat et défendu la liberté. ©Electre 2022

Un tour d'horizon des courants de pensée qui prévalaient dans l'Antiquité : stoïcisme, épicurisme, scepticisme...

L'homme a double origine : l'une céleste, l'autre terrestre ; l'une naturelle, l'autre surnaturelle. Nous connaissons tous cet axiome. Mais que faire pour le prendre sérieusement comme l'expression d'une promesse, d'une expérience et d'une vocation ? K.G. Dürckheim tente ici de répondre à cette question qui engage toute la vie, en s'appuyant sur sa longue expérience de thérapeute, et sans jamais séparer la question du sens de l'homme (sa dimension transcendante) de la méditation qui permet à chacun de se réorienter vers son être véritable. Pour lui, la réintégration par l'homme occidental de cette part d'Orient qui lui est congénitale et inaliénable, mais qu'il a laissée s'étioler au cours des derniers siècles, est l'une des conditions de sa guérison.

Cette étude montre comment le maître est l'instrument qui, avec une force capable d'affronter le monde, ramène consciemment l'homme à son unité originelle avec l'être divin. Par son existence et son action, il est témoignage agissant de la transcendance qui détermine l'homme et sa vie.

Ce texte paru dans la Revue sociologique en 1896-1897 dénonce les croyances concernant l'intemporalité et l'universalité de l'interdit incestueux. Il démontre que cette prohibition, dont il fait remonter l'origine à la phase clanique de l'humanité, a pour but de soutenir des croyances mystiques et religieuses, tout en reconnaissant son importance pour la constitution des groupes humains.
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