Jeunesse - Fictions
Cybele, 15 ans, a les cheveux roux et la peau translucide. Longtemps elle s'est crue transparente. Jusqu'au jour ou quelqu'un finit par la remarquer, mais pas pour les bonnes raisons : alors que son école est selectionnée pour participer a une emission de téléréalité, Cybele se voit reléguée au fond de la classe, car son physique ne semble pas assez avantageux pour passer a la télévision. C'est dans cet espace hors champ réservé aux marginaux qu'elle fera la connaissance de l'imposante Marie-Jeanne et du mysterieux Maxime. Auprès d'eux, sa confiance se refera une beauté et elle réalisera qu'elle a, elle aussi, l'éclat nécessaire pour briller sous les projecteurs. Elle devra toutefois faire bien attention, car a trop s'exposer il y a des risques de brûlures.
En Syrie, c'est la guerre, et la famille de Tarek décide d'entreprendre un long voyage vers la France. Mais Tarek et ses meilleurs amis, Ahmed et Elias, s'étaient juré de ne pas se séparer.
Beaucoup de soleil, une succession de fêtes et la compagnie dun bel amoureux, voilà ce quAlissa envisage pour l'été qui commence. Un premier emploi et des rencontres inattendues poussent toutefois ladolescente, préoccupée par les apparences et avide damour, à remettre ses certitudes en question...
Brianne est (encore !) en peine d’amitié. Sans repères, elle se laisse convaincre par sa mère un peu trop obsédée par les régimes de rejoindre le club de course de son école. Là, elle fait la rencontre d’une animatrice à la vie culturelle très enthousiaste, d’une fille qui n’arrête pas de vouloir lui parler, et de Nick... le plus beau gars de l’école. Et alors ? Brianne a décidé que les amis, c’était fini, et qu’elle peut très bien terminer son secondaire toute seule dans son coin. À chaque entraînement, un pas après l’autre, Brianne réalise que contre toute attente, rejoindre le club de course n’était peut-être pas la pire décision de sa vie...
Le cinquième secondaire ne ressemble en rien à ce qu'Alissa avait imaginé. Son bal de finissants, sa robe, sa coiffure, tout ça passe au second plan maintenant qu'elle ne peut plus ignorer que ses choix auront des répercussions sur un autre être qu'elle. Déçue par l'attitude de Benjamin, secouée par les résolutions de sa mère et par la réaction de ses beaux-parents, Alissa a l'impression que l'amour et l'amitié s'effritent sur son chemin. Sa décision s'annonce lourde à porter, mais peut-être belle aussi
Maxine repousse tous les gars ! C'est ce que prétend Jo, sa meilleure amie, en ajoutant que c'est par manque de confiance en elle-même. Pourtant, depuis trois ans, Max rêve à David... Au cours de cet automne fabuleux, celui de ses quinze ans, elle découvrira que l'amour rôde parfois bien plus près qu'on ne le pense. Avec son groupe d'amis, Max décide de relever un défi : participer à un concours amateur en présentant une chanson, dont elle doit écrire les paroles.
Alissa espère couler des jours tranquilles auprès de Benjamin, son amoureux. Mais avec la rentrée scolaire, elle doit affronter le regard des autres qui voient une fille populaire aux côtés d'un gars bien ordinaire. Les amis qui jugent, le bal qui s'annonce, les choix de carrières à définir à et les relations tendues avec les parents ; les préoccupations sont nombreuses. Sauront-elles les séparer? À moins qu'un autre événement ne vienne tout changer...
Le monde de Novali s’écroule à l’annonce de la nouvelle fatidique par sa mère : une malédiction plane sur les femmes de sa famille. Ces dernières meurent toutes le jour de leur quarantième anniversaire. Aidée de son père, de son meilleur ami Félix et des deux animateurs de la maison des jeunes où elle passe le plus clair de son temps, la jeune fille dispose de six mois pour changer le cours de l’histoire et sauver sa mère... et ainsi pouvoir espérer elle aussi passer le cap de la quarantaine. Réussira-t-elle à vaincre ce sortilège et conjurer cette fatalité ?
Je suis une peinture à numéros. Bien que mes parents aient dessiné mes contours, il faut me les remplir avec mes propres couleurs. Suivre la voix de ma nature, car je mérite d’être heureuse.
Née sous les mains d'un chaisier du comté de Bellechasse, une petite chaise québécoise aux montants de merisier et au siège en babiche, connaît, de 1800 à nos jours, différents propriétaires.
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