Psychologie
De l'Antiquité au XVIIIe siècle jusqu'aux bouleversements de la révolution numérique, l'auteur explore ce que nous faisons de nos mains, à travers une multitude d'exemples. Et constatant que les êtres humains ont toujours eu besoin de manier, tripoter, gratter, triturer...
Un essai consacré aux différences entre les hommes et les femmes. Empruntant aussi bien à Freud qu'à Lacan, au cinéma qu'à la littérature, ou même à sa propre expérience d'analyste, l'auteur dresse un tableau dédramatisé des motivations sentimentales des deux sexes.
Par petites touches, empruntant ses exemples à la vie quotidienne, mais aussi au cinéma et à la littérature, D. Leader poursuit la réflexion qu'il avait amorcée, dans son précédent livre, sur les différences entre les hommes et les femmes en s'attachant à comprendre pourquoi l'amour, parfois, ne dure pas toujours.
A travers le cas de Mozart, une exploration des mécanismes de la perception musicale.
Longtemps, ceux qui souffraient de tocs ou de phobies ont dû vivre avec, en proie aux moqueries de leur entourage et honteux de ne pouvoir se contrôler. Aujourd'hui, les thérapies cognitives et comportementales ont pris ces handicaps en compte, ouvrant sur des stratégies d'amélioration et de soin.
Le psychologue démontre à partir de situations concrètes que sont naturellement présentes chez l'être humain des tendances à l'empathie, à l'altruisme et à la coopération. Il tente de comprendre les origines de cette bonté naturelle
L'homme qui veut "tuer le père" fait seul ses premiers pas vers lui-même. Lorsqu'il ne confronte pas les craintes et les déceptions, il risque de rester dans la colère. Entre hommes, chacun touche sa blessure du père, ses déchirements d'amoureux, ses échecs de parent. L'homme, enfin aime son père, que celui-ci soit là ou pas, parce qu'il le porte en lui-même.
Des conseils et des exercices pour cesser d'attendre continuellement la reconnaissance des autres et apprendre à s'accepter et à s'aimer avec ses qualités et ses défauts. ©Electre 2019
Comptes-rendus des séances de psychanalyse qui se sont déroulées entre septembre 1951 et novembre 1952, auprès de deux petites filles placées en institution. A travers ce travail, les deux auteurs démontrent la nécessité de considérer l'enfant comme un sujet à part entière.
Les auteurs, psychanalystes, établissent à l'aune de leur pratique une structure propre à l'autisme. Ils démontrent cependant la subjectivité du terme ; de Pascal à Proust, nombreux écrivains furent familiers du trouble.