Roman classique
Ce roman constitue le troisième épisode de l'Histoire des treize, un cycle inauguré en 1833, qui met en scène les membres d'une société secrète, les Dévorants. Ceux-ci se sont juré une aide mutuelle secrète et sans exclusive. L'un des membres, Henri de Marsay, beau, riche et jeune veut séduire Paquita Valdes.
Angoissé par la vieillesse, le cousin Pons, "homme-Empire" survivant à la monarchie de juillet, se raccroche à la bonne chère et aux objets. Les chefs-d'oeuvre, eux, ne vieillissent pas. Sa collection prend une valeur considérable. Ce parent pauvre et méprisé devient alors la cible des convoitises les plus sordides de ses cousins bons bourgeois et de sa concierge. Il découvre son seul véritable ami, le vieux musicien Schmucke. Il lui léguera son trésor mais des vautours tournent au-dessus du musée.
L'éducation sentimentale d'un jeune homme, magnifique rejeton de la plus vieille race bretonne, et le douloureux vieillissement d'une femme de lettres, qui, après avoir hésité devant un dernier amour, achève sa vie dans un couvent
Après avoir perdu toute sa fortune au jeu, le jeune aristocrate Raphaël de Valentin est au bord du suicide. Chez un antiquaire, il remarque une peau de chagrin capable de réaliser les souhaits de son propriétaire. Mais chaque désir exaucé rétrécira la taille de cette peau, symbole de sa vie.
Réunit : Les Rivalités ; La vieille fille ; Le cabinet des Antiques ; Le Lys dans la vallée
Un père se dépouille peu à peu de son bien pour en faire profiter ses deux filles.
Avec La femme de trente ans, le thème immémorial de l'émancipation des femmes sort de la fable ou de l'illusion comique pour s'insérer dans le contexte de la société libérale issue de la révolution de 1830. Un des mythes fondateurs de l'histoire de la condition féminine.
Dans la Normandie post-révolutionnaire, l'impossible passion d'une aristocrate déchue pour un abbé chouan défiguré par les Bleus.
Dans les années 1830, le séduisant Ryno de Marigny projette d'épouser Hermangarde de Polastron, jeune orpheline très pure et fort polie. Mais le dandy doit quitter la Vellini, une maîtresse fort encombrante. La comtesse d'Artelles informe sa vieille amie la marquise de Flers, grand-mère d'Hermangarde, du danger que court sa petite-fille.
Le roman dans lequel des anciens chouans évoquent la Révolution et leur jeunesse marquée par l'amour et la violence, est accompagné de questions de lecture, d'études sur le contexte historique et artistique de sa parution, sur sa réception, etc.