Philosophie
Etienne Souriau défend la thèse d'un pluralisme existentiel, montrant ainsi qu'il y a différentes manières d'exister et différents degrés d'existence. Avec une introduction sur les aspects novateurs de sa réflexion.
Sommet philosophique et spirituel, marie deux points de vue complémentaires pour nous faire mieux connaître le sens de ce corps que nous avons.
Le 22 décembre 1894, onze scientifiques américains se réunissent à Potal, petit village de l'Inde. Sceptiques par nature, ils n'acceptent aucune vérité a priori, mais certains phénomènes religieux les intriguent. Ils décident de vérifier de leurs yeux les prodiges accomplis par les Maîtres orientaux. Les savants découvrent, peu à peu fascinés, des lois physiques et psychiques encore inconnues : grâce à une ascèse aux règles bien établies, l'esprit devient capable de maîtriser la matière, et même de quitter son enveloppe charnelle.
Trente ans après "La vie des maîtres", l'auteur nous livre quelques réponses aux questions fondamentales de l'être" afin que nous puissions "réorganiser notre vie en fonction des principes qui ont permis aux hommes inspirés par Dieu de parvenir à la maîtrise spirituelle".
Dans ce texte majeur de 1670, Spinoza expose ses thèses sur les pouvoirs respectifs de la religion et de l'Eglise.
Dans cette étude de la doctrine philosophique de l'existence, Spinoza démontre qu'existence et réflexion se fondent réciproquement selon une perspective particulière. Le texte est accompagné de commentaires qui en explicitent les choix terminologiques et guident le lecteur.
Ces lettres illustrent la pensée de Spinoza et sa conception de l'homme libre, du mal et de Dieu.
Dans cette étude de la doctrine philosophique de l'existence, Spinoza démontre qu'existence et réflexion se fondent réciproquement selon une perspective particulière. Le texte est accompagné de commentaires qui en explicitent les choix terminologiques et guident le lecteur.
Spinoza étudie la question fondamentale de la recherche de la vérité et du vrai bien, et tente d'y apporter des réponses. Ecrit de jeunesse, ce traité est une introduction à la lecture de l'Ethique. Il se concentre sur les degrés de connaissance auxquels l'homme a accès, et sur la façon d'y parvenir à partir de l'expérience de la vie courante.
Face à un destin cruel, faut-il se résigner ou bien se révolter ? Peut-on moralement quitter la vie par un geste d’adieu définitif comme ce fut le cas récemment de l’historien Dominique Venner qui s’est tiré une balle devant l’autel à Notre Dame ? En 1788, dans son premier livre, les Lettres sur les écrits et le caractère de J.-J. Rousseau, Madame de Staël se dit convaincue que Rousseau s’est suicidé à cause de sa solitude. Elle écrit : « Rousseau s’est peut-être permis le suicide sans remords, parce qu’il se trouvait trop seul dans l’immensité de l’univers […]. Un jour, dans ces sombres forêts, il s’est dit : “Je suis isolé sur la terre, je souffre, je suis malheureux, sans que mon existence serve à personne : je puis mourir” ». Toute sa vie, Germaine de Staël fut tentée par le suicide. Elle a souvent menacé ses amants de se tuer, par chantage et par désespoir. Pourtant, ses Réflexions sur le Suicide témoignent d’un effort philosophique et moral pour répudier le suicide comme une forme de folie. « J’ai écrit ces réflexions sur le suicide, dans un moment où le malheur me faisait éprouver le besoin de me fortifier par le secours de la méditation. »