Poésie

Ces textes écrits au quotidien des saisons composent un livre des heures bleues, celles des faits divers et des sentences auxquels Pierre_André Milhit invente une origine. Il décline un bestiaire savoureux et amoureux, empli des chuchotements de la nature et du murmure des hommes. Tout comme "l'inventaire des lunes", salué par la critique et reconnu bien au-delà des frontières valaisannes, ce nouveau chant célèbre la vie et ses mystères.

Pour ce recueil, l'auteur s'est donné pour contrainte d'écrire toutes les minutes sur une journée, de 0h01 à 24h00. Il en résulte 1.440 chroniques du temps et de la vie qui passent.

Au rythme des marées et des treize lunes de l'an 2009, s'invente un calendrier poétique des heures et des jours. Le poète nous offre les images précieuses d'un quotidien sublimé par des lueurs uniques qui éclairent notre réel tout en le saisissant de manière parfaitement contemporaine

Poème biblique en douze chants. C'est une tragédie cosmique où le personnage central n'est plus Adam, mais Satan, une apologie de la révolte annonçant le satanisme romantique.

Recueil de poésie en prose. Pollution, clonage, surconsommation, enfant-esclave, enfant abandonné, guerres, indiférence, mémoire et oubli, identité, pauvreté, technocratie, soumission, violence...Voilà quelques-unes des préoccupations de ce livre où s'entrecroisent cruauté et amour, joie et peine, tendresse et rage, enfer et paradis.

L'auteure revisite les thèmes qui lui sont chers: l'infinie solitude de l'homme, les désillusions de l'amour, le chaos planétaire. Une poésie accessible, humaine et sensible.

Sur un air de Leonard Cohen, la poète Laure Morali marche dans la ville de Montréal. Elle s’arrête, médite et écrit d’une rue à l’autre. D’un rêve à l’autre. Entre en résonance avec les mots et les lettres. Engage le dialogue avec l’ange. Les mots se détachent et dans leur miroir, tout s’éclaire ou s’efface. Personne seulement est une méditation sur l’ombre et la lumière, sur les paradoxes et les forces opposées qui nous fondent, ensemencent nos vies et nos actes.

Une enfant qui a mal à la gorge, en mal d’être vue. Une femme au ventre creux. Des taches d’encre, pour seules preuves de passage. Dans Crever les eaux , Joanne Morency se rappelle l’enfant de peu de mots qu’elle a été, se souvient d’une mère attendrissante dont elle devenait parfois la mère. Revisite le désert d’une maternité inassouvie et la sensation qui en résulte de porter un corps au destin incomplet. Parvenue à cet âge où la vie déboule, elle tente de démêler ce qui lui appartient du vide qu’elle a porté dans son enfance, de casser la longue langueur d’une lignée féminine. D’émerger de plusieurs formes d’attente superposées.

Pierre Morency nous propose ici un recueil où se côtoient vers et prose. Témoignant d'une époustouflante maîtrise, rayonnant d'une constante lumière, ces textes célèbrent la flamme, à la fois forte et fragile, qui brûle en chaque être vivant.

Poète et naturaliste, l'auteur poursuit avec ce deuxième ouvrage la trilogie de ses "Histoire naturelles du Nouveau Monde" commençant avec "L'oeil américain" et se terminant avec "La vie entière." 1992.
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