Philosophie

Un parcours méthodique entre philosophie analytique et herméneutique sur le je, saisi de l'intérieur, et le soi, pronom réfléchi.

L’art doit travailler au bonheur de l’humain. L’idée est si simple qu’on se demande pourquoi on a si peu réfléchi à la portée éthique et consolatrice de l’art, ou encore à l’hospitalité que la littérature offre à la souffrance. Yvon Rivard nous montre à la suite de Camus que l’écriture fait du bien. 2010.

Etude sur la réception d'Epicure au Moyen Age et sur l'origine de sa caricature comme le représentant de l'hédonisme, de l'immoralisme ou encore de l'hérésie. Cette image s'est forgée au cours de l'Antiquité mais a été transformée par les théologiens médiévaux. L'auteur montre que, dès le XIIe siècle, des penseurs ont tenté de réhabiliter le philosophe, avant sa redécouverte par les humanistes. ©Electre 2024

De Descartes à Camus en passant par Voltaire, Foucault, Sartre, Montaigne ou Ricoeur, l'auteure convoque de grands philosophes dont la pensée permet de faire face à des situations du quotidien : supporter ses enfants surexcités, gérer un patron tyrannique, survivre à la honte ou encore surmonter sa timidité. ©Electre 2019

Douze concepts abordés en autant de récits où Kant, Spinoza ou encore Platon s'invitent pour aider à surmonter les aléas de l'existence et dédramatiser ces situations avec humour et esprit.

Neuf chapitres pour une meilleure exploration de ses moments sombres afin de retrouver sa source vitale.

Ce livre est une dérive imaginaire à partir des traces que la tradition nous a laissées et des textes de Spinoza qui, pourtant, s'y prêtent peu.

La vie du philosophe, mathématicien et physicien.

L'auteur procède à une analyse de la morale de Descartes plus particulièrement à partir de l'ouvrage Les principes de la philosophie, publié en latin en 1644 et en français en 1647.

Cet essai philosophique sur un auteur qui clamait sa « haine de la philosophie » nous fait remonter vers l'énigme d'une vie sans être. A. Artaud écrit pour sortir de l'enfer, pour se réappoprier le Je, dont il a été dépossédé.

