Philosophie
Un essai de jeunesse dans lequel le philosophe aborde certains thèmes centraux de son oeuvre à venir, tels que le caractère absurde de l'existence, la morale comme refus du tragique ou la paradoxale joie de vivre. Il développe une philosophie fondée sur la création et sur le bonheur d'être au monde malgré la vanité apparente de toute entreprise humaine. ©Electre 2021
Le philosophe cherche à dissoudre l'ordre pour affronter le chaos afin de penser le pire et s'interroger sur la possibilité d'une philosophie tragique. ©Electre 2021
Comment appréhender le réel ? La réalité en général est composée d'objets proprement indescriptibles mais qui sont d'autant plus évocateurs du réel que leur description est malaisée.
Condensé des conceptions philosophiques et surtout des vues de l'auteur sur l'évolution biologique des espèces.
L'auteur, également artiste, livre un récit de moments partagés avec Balthus. Rares moments de confidences sur la vie.
Un portrait de Diogène de Sinope, pourfendeur des théoriciens de la philosophie et fondateur du cynisme. L'auteur retrace le parcours de celui qui fut tour à tour citoyen de Sinope, étranger en exil, esclave asservi par des pirates crétois puis affranchi. ©Electre 2020
Résumé en cours
Texte peu connu mais éclairant sur la trajectoire de Rousseau, la genèse et l'exposition de ses idées, au moment crucial du débat qui l'oppose à la société de son époque. Il y répond en effet au Mandement que l'archevêque de Paris (proviseur de la Sorbonne) a dirigé contre l'Emile.
Ces deux discours publiés respectivement en 1750 et 1754, répondent à des questions posées par l'académie de Dijon. Rousseau y jette les bases de sa doctrine : la vie en société est la seule et même cause de tous les maux et inégalités entre les hommes. ©Electre 2016
Constitués de principes évidents, ce traité politique prend le peuple non comme objet, mais comme sujet de son discours et invente ainsi l'idée de la démocratie absolue. Les gouvernés sont concernés autant que les gouvernants, les princes ou les conseils. L'humanité citoyenne est théorisée. L'homme n'obéit qu'à lui-même et aux lois qu'il se prescrit.
Pages
