Philosophie

Ce texte est un dialogue sur l'éducation et la vertu qui met aux prises Socrate, le maître de Platon, avec des sophistes. Il affirme que la vertu est une, qu'elle est science même et qu'elle peut être enseignée. C'est l'un des textes les plus emblématiques de l'opposition philosophie-sophistique telle qu'elle est développée tout au long de l'oeuvre de Platon. ©Electre 2015

Ce texte majeur de la philosophie antique signe la naissance de la philosophie du langage. Il s'interroge sur les rapport du mot et de la chose.

Platon veut définir l'homme politique idéal : royal. Il montre qu'il faut être philosophe pour maîtriser la compétence politique et mener la cité à l'excellence, il élimine les sophistes, principaux prétendants au pouvoir. Il livre ainsi une leçon de méthode philosophique.

Ce dialogue entre Socrate et Phèdre fait suite au Banquet et traite comme lui de la beauté, de l'amour, de l'art de discourir.

Les lettres présentent, par rapport au reste de l'oeuvre de Platon, un double intérêt : là seulement le philosophe parle à la première personne, là seulement il se décrit en action. Les Lettres nous présentent un autre Platon que celui des dialogues, celui qui, tout jeune homme, veut jouer un rôle politique à Athènes et qui, plus tard, cherche à réaliser à Syracuse les projets politiques qu'on trouve exposés d'abord dans la République, puis dans le Politique et dans les Lois. Plar là, Platon ouvre une tradition qui se maintiendra après lui, comme en font foi, entre autres, les exemples de Descartes auprès de Christine de Suède, de Voltaire auprès de Frédéric II de Prusse ou de Diderot auprès de Catherine II de Russie : celui du philosophe conseiller du chef d'état. Traduction inédite et présentation de Luc Brisson

Une question oriente la lecture de Philèbe : la vie bonne est-elle une vie de plaisir ? Un dialogue fondamental dans la tradition de la philosophie occidentale.

Un dialogue entre deux sophistes à propos de l'enseignement de la vertu.

Dialogue en Crète d'un Athénien et de deux Crétois sur les lois, les intentions du législateur, la cité de l'avenir et son organisation, le mariage, l'éducation, l'organisation de la justice, etc.

Traduction du dialogue qualifié d'aporétique, c'est-à-dire sans conclusion.

Une critique radicale de l'ordre politique et une réflexion inégalée sur l'homme et la connaissance de lui-même. Edition commentée proposant d'établir un équilibre entre une lecture de l'oeuvre centrée sur l'histoire et une lecture se focalisant sur la métaphysique.

