Poésie
Résumé en cours
Une centaine de textes poétiques, ironiques, passionnés ou acerbes écrits entre 1982 et 2015. Le chanteur y évoque l'humour, le désir, les tourments, le plaisir, la sagesse, la folie, mais aussi ses désespoirs ou ses colères.
Journal intime imaginaire d'une mauvaise herbe, constitué de poèmes et de photographies de diverses mauvaises herbes. L'artiste joue de la métaphore pour dénoncer le monde actuel, montrer la valeur des personnes simples dites pauvres, ternes et inutiles et souligner l'importance de la culture qui a le pouvoir
Ce volume rassemble des poèmes et des proses du grand poète victorien Gerard Manley Hopkins, dans une remarquable traduction de Pierre Leyris qui met en lumière toute la tension et l'invention de cette oeuvre visionnaire. Le choix de poèmes, dont Le Naufrage du Deutschland, chef-d'oeuvre de la maturité, est accompagné par des fragments de journal, sermons et lettres qui racontent l'âme du poète, écartelée entre son amour de la poésie et les exigences de son sacerdoce.
Poème dans lequel le romain Horace s’amuse à railler les mauvais écrivains. Il énumère toutes les fautes contre la vraisemblance, l’unité, le bon goût, l’usage de la langue, et s’attache moins à diriger les apprentis poètes qu’à les décourager. La poésie doit être une image de la vie et une leçon pour l’humanité, comme elle l’était pour les Grecs.
Recueil d'une centaine de poèmes inédits en cinq parties.
Victor Hugo chante la douceur de l'enfance et la complicité qui peut se nouer entre générations
Les contemplations fournissent dans leur quatrième partie un ensemble de poèmes consacrés à la mort de Léopoldine, la fille du poète. Avec des notes, des comparaison avec d'autres textes et un dossier composé de fiches de lecture et de sujets de type bac. ©Electre 2017
Soixante-dix-huit courts poèmes de Victor Hugo pour tous
"Les profondeurs étaient nocturnes et funèbres ; Un bruit farouche, obscur, fait avec des ténèbres, Roulait dans l’infini qui sait le noir secret ; Ce bruit était pareil au cri que jetterait Quelque âme immense et sombre à travers l’étendue, Luttant contre l’abîme et volant éperdue. [...]"
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